La belle-sœur frappa bruyamment à la porte de sa grosse main lourde.
Pendant que je m'habillais, j'essayai d'apaiser la belle-sœur en demandant : « Belle-sœur, Duoduo n'a jamais fait de travaux agricoles. Est-ce que je peux l'accompagner ? »
« Bien sûr que non ! »
La belle-sœur me jeta un regard et rit avec moquerie : « Quoi ? Tu t'inquiètes de ce que je pourrais faire à ta précieuse fille ? Tu ne me fais pas confiance, n'est-ce pas ? »
Je secouai la tête à plusieurs reprises et expliquai : « Non, je m'inquiète que l'enfant ne se comporte pas bien. Tu es sa tante ; que pourrais-tu lui faire ? »
« Alors ne me fais pas perdre mon temps à parler ! »
La belle-sœur renifla froidement puis saisit brusquement Duoduo.
« Je te préviens, je ne suis pas ta mère ; je ne vais pas te gâter. Ose pleurer, essaie seulement ! »
La belle-sœur donna un coup sur le front de Duoduo.