Demon Painting

Dans sa vie antérieure, Xia Chu a perdu sa virginité avant le mariage et a été méprisée par sa famille comme une femme dévergondée, forcée d'épouser un vieux veuf boiteux. Sa tante et sa mère sont mortes l'une après l'autre à cause d'elle. Fuyant seule vers le sud pour travailler, elle a enduré une vie difficile et a finalement connu une mort tragique aux mains d'un vaurien.

Renée, elle est déterminée à protéger ceux qui l'aiment et ceux qu'elle aime, à réécrire le destin. Ceux qui l'ont piégée, elle leur fera subir les conséquences ; ceux qui l'ont forcée, elle les fera s'agenouiller et implorer sa pitié ; et ceux qui l'ont tuée, elle les fera souhaiter être morts !

Au fait, ce grand homme stoïque au beau visage, loyal et compétent, autant t'épouser puisque tu as tout pour plaire.

Après Avoir Épousé l'Officier

« Déstabiliser l'unité nationale ? » Xia Chuyi jeta un coup d'œil à He Qing.


Il avait vraiment le culot de dire ça.


Elle fixa He Qing et demanda d'une voix légère : « C'est toi qui m'as dénoncée ? En disant que je t'avais battu ? »


Se faire battre par une femme n'est guère honorable.


« Touss, touss. » He Qing se couvrit la bouche, fit semblant de tousser deux fois, évita son regard et masqua son embarras.


« Quoi, tu as dénoncé ma sœur pour t'avoir battu ? » Zhao Xiaogui était stupéfait.


Xia Chengzong fronça les sourcils, jeta un regard aux deux policiers et à He Qing, puis finit par renifler froidement : « He Qing, tu es un homme adulte, comment peux-tu dire que ma sœur t'a battu ? Pourrait-elle même te maîtriser ? »


En entendant cela, Zhao Xiaogui sembla comprendre et bondit, insultant He Qing : « Exactement, He Qing ! Tu es un homme grand et costaud, un soldat, et pourtant tu prétends que ma sœur, une femme douce et délicate, t'a frappé ? Tu es sans vergogne ! »


Chapitre 153 : Honteux ou pas