Cloud Ink

Le Prince Héritier de la Capitale a ramené une femme chez lui, la cachant aux regards et la choyant jusqu'au ciel. La rumeur dit qu'elle n'est qu'une paysanne de la campagne, jolie mais totalement inutile.
La capitale bourdonne : Juste un vase qui s'élève grâce à sa beauté.
Quand les résultats de l'examen d'entrée à l'université sont publiés, pourquoi le nom du meilleur élève national est-il ce même 'vase' ?
Lors de la réunion des nouveaux apprentis de l'Association des Peintres, pourquoi se tient-elle aux côtés du Président ?
...
Alors que divers déguisements sont dévoilés, tout le monde est réduit au silence, souhaitant pouvoir se cacher. Qui diable a dit qu'elle n'était qu'un vase ? Levez-vous !
Une certaine dame, maltraitée, se couvre les mains et pleure de douleur.
Le Seigneur Chen la réconforte : Ma charmante épouse est si belle et émouvante, pourquoi la maltraiteriez-vous ?
Les gens, avec une colère qu'ils n'osent exprimer, se couvrent le visage.
S'il vous plaît, précisez, qui est celui qui est maltraité !

Seigneur Yan, Le Petit Ancêtre Est Encore Tombé De Cheval !

Dans une petite pièce noire, des mégots de cigarettes jonchaient le sol tandis que des cafards couraient partout.


Un homme à la barbe mal rasée et aux cheveux en désordre avait les yeux injectés de sang.


Il tapait furieusement sur son ordinateur, et bientôt une interface avec un point d'exclamation rouge apparut, émettant un son d'alarme !


Il tenta de mettre en place un pare-feu pour intercepter l'autre partie, mais celle-ci, implacable comme un fendeur de bambou, pirata directement son ordinateur.


Il alluma une cigarette, exhalant des ronds de fumée avec une expression complexe.


À ce moment, la sonnerie d'un téléphone portable retentit, et il répondit, sa voix quelque peu rauque.


« Mon ordinateur a été piraté, ils ont un expert derrière eux, je suis impuissant sur ce coup-là. »


Agacé, il raccrocha, porta la cigarette à ses lèvres et tira une profonde bouffée.


Chapitre 18 Trois Zéros