Chapitre 104 Départ pour la Villa Fenglin

M. Jiang : « … »

Quelle injustice !

Une énorme erreur judiciaire.

Assis à la maison, et pourtant accusé d'infidélité comme si cela venait des cieux.

Ancêtres, vous ne devriez pas dire de telles choses !

Son visage devint rouge alors qu'il lâcha sérieusement : « Je n'ai pas fait ça ! »

[Tss tss tss, ce sont les coupables qui ne cessent de nier, n'est-ce pas ? Tu aimes Tante Chu, hein ? Si vieux et toujours amateur de beauté—non attends, les hommes sont éternellement jeunes, hélas, on peut aussi considérer ça comme charmant.]

Le regard de Mme Jiang aurait presque pu tuer quelqu'un.

Malgré la climatisation dans la villa de la famille Jiang, M. Jiang était trempé de sueur comme s'il avait lavé ses vêtements avec.

Littéralement dégoulinant de sueur.

Il ricana : « Les enfants disent vraiment n'importe quoi, les enfants disent n'importe quoi. Je n'ai pas trompé, je vais t'aider à déplacer les choses tout de suite. »

Il ne pouvait pas rester dans le salon une minute de plus.