Miguel ne voulait rien dire alors il la serra contre lui et se pencha pour l'embrasser.
"Je ne t'embrasserai pas tant que tu ne me diras pas la vérité," dit-elle ce qui lui fit éclater de rire.
"Je te possède, n'oublie pas ça. Quand je dis que je veux quelque chose, je l'obtiens."
Elle soupira et se leva, repoussant sa main.
"Oh arrête de faire le dur," dit-elle en serrant les dents de colère. "N'est-ce pas assez avec la façon dont tu me traites ? Pourquoi ne peux-tu pas montrer un peu de vulnérabilité ?"
Il lui lança un regard meurtrier avant de la chasser d'un geste de la main.
"Tu peux partir. Quand j'aurai besoin de toi, je t'appellerai."
Elle le regarda avec colère avant de grogner et de sortir de la pièce, en claquant la porte.
Peu après, Gio entra et s'assit sur le canapé en face du lit de son patron.
"Envie d'en parler ?" demanda l'homme alors que Miguel secouait la tête. Mais Gio n'était pas prêt à laisser passer ça. "Miguel…"