Cécile se dirigeait vers son travail du soir ,il se mit à pleuvoir ,elle due commencer a courir à toute vitesse, les pieds martelant le trottoir Lorsqu'elle arriva à l'entrée du restaurant, elle s'arrêta sous la pluie , souleva la tête et regarda le ciel nocturne. "Ce boulot, c'est vraiment de la merde J'espère au moins que la pluie bloquera la plupart de ces ivrognes chez eux" dit-elle en poussant la porte du restaurant. dit-elle en poussant la porte du restaurant.
Comme d'habitude, le restaurant était toujours bondé de monde et très bruyant, et regroupait toute sorte de personnes, les uns plus douteux que les autres.
En voyant l'ambiance de la salle
Cécile murmura : "À quoi je m'attendais de la part de ces ivrognes ? Mieux vaut que je me dépêche de me changer et commencer à travailler".
Trois heures plus tard
elle regardait sa montre et depuis son arrivée, elle ne faisait que servir sans arrêt, sans une minute de repos. En regardant autour d'elle,
"Merde, il on l aire plus pauvre les uns que les autres où trouvent-ils tout cet argent pour le dépenser en boissons ?" Pensa t elle
Elle ne s'attarda pas trop, la dessus encore, et continua à servir. Quand elle sentit soudainement une main qui lui touchait les fesses, elle se retourna vivement, sans dire un mot, et renversa le plateau de nourriture qu'elle tenait sur le visage du pervers.
Il sauta de sa chaise, tout en criant
"Mais putain, c'est chaud ! Tu es complètement folle, ma parole !" dit-il d'une voix remplie de colère.
"Ooh, je suis vraiment désolée, je ne l'ai pas fait exprès", dit-elle d'un ton ironique.
Le jeune homme se rapprocha d'elle et lui donna une forte gifle, ce qui la fit tomber au sol.
"Quand on demande pardon, le moindre des choses est de diminuer la hauteur, tu ne penses pas ?", dit-il en la regardant avec un sourire.
Cécile se leva rapidement, tout en le jetant un regard noir. Elle était sur le point de partir quand elle entendit une fois derrière elle
"Qu'est-ce qui se passe ici ?" C'était la voix de son patron.
"Ooh, patron, c'est vous", dit le jeune homme en se rapprochant.
"Cette jeune fille vient de me renverser un plateau sur le visage et refuse de s'excuser", dit-il.
Le patron se tourna vers Cécile : "Qu'est-ce que tu attends pour t'excuser ?" demanda-t-il.
Cécile : "Mais patron..."
"Si tu tiens à venir travailler demain, excuse-toi tout de suite", criait-il.
Cécile resta une minute sans bouger, se mordit les lèvres et regarda son patron et l'homme avec colère, comme pour montrer son mécontentement, avant de se décider à avancer.
au milieu de la foule et s'inclina légèrement devant le jeune homme en guise d'excuse avant de retourner dans la cuisine. Elle ne pouvait que regarder sa montre et attendre que le temps passe.
Après quelques heures de plus, elle venait de finir sa soirée, mais la pluie ne semblait pas vouloir s'arrêter. N'ayant pas de parapluie, elle dut en emprunter un à sa collègue. Après avoir pris le parapluie, elle prit le chemin de son domicile, tout énervée par ce qui s'était passé ce soir-là. En repensant à ce qui s'était passé la veille, elle sentit son cœur se serrer et les larmes monter.
Quand soudainement elle entendit un bruit qui la fit trembler
"Qu'est-ce que c'est ?" dit-elle en courant pour aller voir
. C'était un accident de circulation, une voiture avait quitté la voie routière et était allée s'écraser contre un arbre, la réduisant en un tas de ferraille.
En voyant la scène
"Oh mon dieu, qu'est-ce qui s'est passé ?" se demanda-t-elle.
Elle lâcha son parapluie et courut vers la voiture qui était en feu pour voir la situation du conducteur.
Arrivée devant la voiture, elle remarqua une personne à l'intérieur.
"On dirait qu'il est inconscient, j'espère qu'il n'est pas mort", dit-elle en essayant d'ouvrir rapidement la portière pour le sauver.
Elle réussit à ouvrir la portière et le tira hors de la voiture. Elle le tirer le plus loin possible de la voiture.
"Qu'est-ce qu'il est lourd, qu'est-ce qu'il peut bien manger, ce type ?"
Pendant qu'elle était occupée à le trainer au sol, elle entendit un grand "BOOM" derrière eux. C'était la voiture qui venait d'exploser. En regardant la voiture, elle se tourna vers l'homme, se toucha le nez et respira fortement.
"Je ne sais pas qui tu es, mais ce qui est sûr, c'est que tu me dois une vie !" dit-elle en appelant les urgences.
Après avoir fini d'appeler les secours, elle resta là, sous la pluie, à attendre l'arrivée des pompiers et des ambulanciers.