…
Aucun son.
…
Aucune lumière.
…
Il faisait uniquement noir, on ne pouvait rien voir.
Soudain, un flash blanc qui ne dura qu'une fraction de seconde, puis de nouveau mais la lumière resta finalement. Éblouit, on ne voyais rien. La vue s'adapta lentement pour afficher un opéra. Vide de spectateurs.
Scrutant chaque recoins, il vit que la lumière provenait d'un trou en haut du bâtiment. Il n'était pas grand, mais clairement suffisant pour éclairer l'entièreté de l'énorme salle de musique. Des sièges étaient là, les instruments debout par il ne sait quel miracle, et remarqua qu'il était au premier rang. Toujours personne. Toujours pas de bruit ni de mélodie. Et il n'a toujours pas son corps. Encore un rêve ?
Soudain, un violon se mis a jouer. Aaron chercha lequel, un instant, puis d'autres instruments suivirent. Une musique se distingua. Une mélodie médiévale douce et engageante. C'était une musique qu'il n'a jamais entendu. Il était tellement attentif au son qu'il ne remarqua presque pas que les musiciens étaient apparus.
Pour se détacher de l'orchestre, il lui fallut quatre bonnes minutes. Libéré, il regarda à sa gauche. Toujours personne. Derrière ? Rien. À sa droite…
Une femme. La même que celle du trône. Elle était là, juste à côté de lui. Elle portait son regard vers l'orchestre avant de le détourner vers le garçon.
– Comme promis. Nous nous retrouvons. Et cette fois, tu peux parler. Obsidienne te fait emprunter son corps.
– … Bonjour. Je peux parler… Vous m'entendez ?
Elle esquisse un sourire en coin.
– Évidemment. Bien. Étant donné que je te l'avais promis, je t'ai fait revenir. Demande moi donc ce que tu veux. Je répondrais à tes questions.
– Alors… je demanderais d'abord si il y a des être semblable aux humains mais qui ne se montrent pas toujours.
– Il y en a bien certains. Les vampires, qui ne peuvent voir avec la lumière du soleil et donc vivent dans des royaumes souterrains, les Nains d'aciers, qui vivent également sous terre, dans des villes de pierres et de fer. Il y a aussi les dragons des eaux troubles. Il y en a très peu, ils se comptent sur une main. Ils vivent dans des grottes spéciales, pleines d'energie magique et de plantes ténébreuses.
Aaron ne s'attendait qu'aux vampires, mais il semble que ce monde est bien plus complet que ce que l'on pouvait imaginer. Il posa donc une autre question :
– Je voudrais savoir si il y a des donjons. De endroit qui apparaissent et qui ne demande qu'à étre nettoyé des monstres.
– En effet, certains batiments sont appellés donjons. Ce sont des batiment qui sont découverts sous divers circonstances mais peu sont trouvés. Des batiment de leurs tailles sont difficilement réalisable. Une centaine d'étage en profondeur, où il faut tenir à une pression de plus en plus élevée et à des monstres de plus en plus puissants. C'est avec les danjons que les trois races énoncées précedemment ont pu survivres. Les nains d'aciers, qui plus est, ne peuvent travailler que sur la terre et ce qui s'y trouve etsont incapable d'utiliser le bois s'il n'est pas déjà traité.
Elle pris un air serieux lorsqu'elle énonça la dernière phrase.
– Que signifie traité? Comment le bois peut être traité? Et pourquoi cette incompatibilité, demanda le jeune homme en la voyant perdue dans ses pensées.
– ils sont incapable d'utiliser la magie de façon indirecte, or, il ne faut pas utiliser de magie pour interagir avec les plantes car autrement, elle meurent presque sur le coup, pourrissant dans les mains du ceuilleur ou du coupeur. Seul un bois traité contre cette magie peut leur aller, les forcants à commercer pour obtenir ce bois. Celà explique aussi la raison pour laquelle ils sont toutjours neutre dans les conflits. Ils ne se risqueraient pas de perdre un materiaux aussi précieux. Bien. On a discuté longuement, même si il est vrai que ce n'est pas suffisant pour ta curiosité. Mais je ne peux te faire tarder plus longtemps. Il est déjà huit heure. Faut te réveiller. À une prochaine, finit-elle par dire, souriant. Au fur et à mesure que l'image se floutait, la musique jouée par l'orchestre finissait sa course. Puis de nouveau un vide, un noir complet.