Les lèvres de Liiza étaient froides et lisses. Elles étaient complètement différentes de la chaleur de Cora, mais Khan ne pensait même pas à la jeune humaine dans cette situation.
Son esprit parvenait à peine à formuler des pensées. Tout avait disparu lorsque Liiza l'avait embrassé, et sa main s'était instinctivement levée pour atteindre l'arrière de sa tête. Ses cheveux blancs lui semblaient être la matière la plus douce au monde tandis qu'il l'attirait plus près.
Les doigts de Liiza griffèrent légèrement la poitrine de Khan avant de s'agripper à son uniforme. Le baiser devint plus passionné, et Liiza se détendit bientôt suffisamment pour s'allonger complètement sur son torse.
Elle était légère, et sa main atteignit lentement sa joue pour la caresser. Khan ne put s'empêcher d'enrouler son bras autour de sa taille et de poser sa paume sur son flanc.