La vision était plus net que la dernière fois. Il voyait qu'il bougeait mais sans corps. Il pensa que c'était la pièce d'obsidienne et sachant qu'elle parlait Aaron essaya de communiquer avec. En vain.
Elle se dirigeait en direction d'une grotte dont l'entrée est assez grosse pour qu'un avion puisse passer. C'est deux seconde après la vue de cette fosse horizontale qu'Obsidienne entra, Aaron regardant au travers dans son sommeil. Un sacré labyrinthe, tous les quelque cent mètres, trois à cinq voies possible, et certaine étaient de simple cul-de-sac, d'autres menaient dans de plus grandes profondeurs et certaines faisaient tourner en rond. Pour se perdre, rien de mieux, pensa le jeune-homme.
Après possiblement trois bonnes heures, Obsidienne s'arrêta devant un faussé à la sortie d'un tunnel plus long que tous les précédents. Le trou faisait peut-être bien deux, voire trois kilomètres de long avec des irrégularités aussi importantes que les mouvements d'une personne ayant un AVC. Il y avait des pics longs d'un mètre sortant du mur langeant la falaise souterraine qui avaient l'air de demander à ce qu'un être s'empale dessus.
La pièce se laissa tomber dans ce trou, montrant que le trou était profond d'une centaine de mètres.
Une porte se présenta devant Aaron, qui faisait au moins cinq mètres de haut, trois de large et en acier. Des motifs étaient sur toute la surface et le dormant était d'or. Les sculptures semblaient asiatiques. Plus cela allait, plus tout redevenait flou, mais le monde que le garçon imagine en plus de ce qu'il a vu devient de plus en plus net. Le meneau est infime, tellement que l'on ne peut voir au travers. Tout devînt noir…